Les cartes conceptuelles en pédagogie

27 04 2009

Vous savez ce qu’est une carte conceptuelle ? En voici une brève définition : c’est une représentation visuelle et graphique de concepts que nous relions ensemble par des liens (des traits) auxquels nous pouvons ajouter un ou des mots liens. Ces cartes de connaissances sont de bons outils pédagogiques.

Selon l’article Logiciels de construction de cartes de connaissances : des outils pour apprendre de B. Pudelko et J. Basque elles favorisent des apprentissages signifiants, elles aident à la structuration des connaissances, elles permettent un traitement interne actif des connaissances, elles sont un outils d’amplification cognitive, d’autorégulation cognitive, un moyen de favoriser la pensée réflexive et finalement une aide à la compréhension et à la mémorisation d’une représentation du domaine décrit dans un texte. Cette liste d’avantages vous donne-t-elle le goût d’intégrer ces cartes conceptuelles à vos cours ? Vous vous demandez comment et à quel prix ? Plusieurs logiciels, certains en format libre, sont exclusivement conçu à cette fin. Parmi ceux-ci, nous retrouvons Cmap Tools, Inspiration, Belvedere, MOT, PIViT, SemNet et plusieurs autres.

Évidemment, quelques difficultés de la part des élèves vont ressortir. Le choix des liens et des mots liens en fera partis.  Il est fortement recommandé de procéder à une gradation des élaborations de cartes conceptuelles. Par exemple, voici le modèle proposé par M. André Laflamme de l’Université de Montréal. 1) Compléter une carte conceptuelle depuis une liste de concepts déjà hiérarchisée (cases vides). 2) Élaborer une carte conceptuelle depuis une liste de concepts et de mots de liaisons préétablis à hiérarchiser et à exemplifier. 3) Élaborer une carte conceptuelle depuis une liste de concepts préétablis à hiérarchiser et à exemplifier. 4) Élaborer une carte conceptuelle depuis une feuille blanche.

 

Maintenant, voici la méthode d’évaluation proposée. 1) Les propositions : la relation entre deux concepts (liaison proche) est valide (pertinence du qualificatif). 2) La hiérarchie : les concepts « généraux » sont détaillés par des concepts plus « spécifiques » (pertinence hiérarchique). 3) Les relations : la relation entre deux concepts (liaison éloignée ou croisée) est valide (pertinence du qualificatif) et illustre une synthèse entre deux concepts ou propositions. 4) Les exemples : les concepts (ou les propositions) sont instanciés dans des faits sous forme d’exemples.

 

En suivant ces propositions, vous devriez multiplier les apprentissages de vos élèves.  La création de cartes de réseaux développe plusieurs compétences demandées par le MELS. Certains logiciels sont offerts gratuitement.  Ces raisons sont suffisantes pour vous convaincre des bienfaits des cartes de connaissances.  

 

Voici le lien pour l’article complet Logiciels de construction de cartes de connaissances : des outils pour apprendre de B. Pudelko et J. Basque

http://www.profetic.org/dossiers/dossier_imprimer.php3?id_rubrique=108

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





Les médias: informations ou sensations?

27 04 2009

Avez-vous vu l’annonce de Déjeuner en tout temps de Carnation ? Celle ou le professeur de mathématique endors toute sa classe en parlant de fonctions trigonométriques, sauf pour le petit garçon qui prend son breuvage Déjeuner en tout temps. Je trouve que cette annonce ne valorise pas tellement les mathématiques. Il faut faire attention è ce que l’on voit à la télévision. Ce média ne véhicule pas toujours la vérité.

 

En ce qui me concerne, il est vrai que la partie sur les fonctions trigonométriques ne fut pas la plus passionnante, mais de la à dire que ce fut ennuyant à ce point, je ne suis pas d’accord. Pour ces jeunes n’ayant pas encore fait ce cours, ils se développent une image faussée à partir de cette annonce. Comment pouvons-nous les éduquer à critiquer l’information véhiculée par les médias. Comme médias je parle de télévisions, journaux, revues de toute sortes, radio, etc.

 

Plusieurs sites intéressants nous apprennent à se questionner de façon rigoureuse pour déterminer la validité des diffuseurs d’informations. Parmi ces sites, on nous propose la liste de contrôle CEVA pour vérifier la qualité d’une information qui s’appuie sur la crédibilité, l’exactitude, la vraisemblance et l’appui de cette information. Il y a aussi le petit conseil RASE qui propose la remise en question de l’information et demande des comptes, d’adapter votre degré de scepticisme et vos critères de qualité, de sauvegarder toute nouvelle information dans votre esprit et d’évaluer et réévaluer l’information régulièrement.

 

Pour une activité en classe quoi de mieux que les sites nous proposant des questions préalablement réfléchies sur certains aspects de l’information à critiquer. Il nous reste qu’à sélectionner les plus intéressantes pour le cours ou de laisser le choix aux élèves.

 

Allez voir ce site et demandez à vos élèves de le critiquer. Il est très bien fait et même nous, adultes réfléchis, nous voulons y croire.

http://www.pomegranatephone.com/

 





Cartes conceptuelles

26 04 2009
  1. Faire une représentation d’un sujet – dans ce cas-ci des concepts expliqués dans le cours magistral « information numérisée »- comment sert-elle (ET nuit-elle) à votre propre compréhension de ce sujet ? Expliquez vos réponses.
    • Créer une carte coneptuelle peut aider quelqu’un à assimiler, organiser et hiérarchiser des informations. en effet, faire un schéma de concept nous force à nomer les liens qui relient les conepts et nous amène à décider si un concept est relier avec un autre, ou non. Cela permet ensuite de présenter l’information de manière beaucoup plus efficace et structurée pour un apprenant.
  2. Faire une mise en commun des cartes conceptuelles, vous a-t-elle permis de voir des idées différentes ou « autres » (par exemple, les idées que vos pairs avaient notées, mais que vous, vous n’avez peut-être pas notées)
    • Après avoir organiser l’information pour soi-même, il peut-être très enrichissant de voir d’autres façon de faire. Il peut être bon de mettre sa propre carte conceptuelle à jours et de ce questionner sur les choix que nous avons fait en élaborant notre carte.
  3. Pensez-vous qu’une carte conceptuelle pourrait-elle servir comme aide-mémoire? Élaborez trois points forts et trois points faibles.
    • Points forts :
      1. Présente les concept de façon hiérarchisé.
      2. Une carte conceptuelle est généralement consise, elle ne décrit pas les concepts, elle les énonce.
      3. Très visuelle.
    • Points faibles :
      1. Facile à surcharger.
      2. Long à faire et requiert, pour être pleinement efficace, des connaissances informatiques de certains logiciels.
      3. Possibilité de trop simplifier les informations.
  4. Dans une carte conceptuelle, il faut structurer les concepts (et les mots de liaisons), voire leur donner une forme qui démontre un sens . À ce jour, comment évaluez-vous cette « structuration visuelle forcée »? Y a-t-il des aspects négatifs et positifs à co-structurer et co-restructurer des concepts dans une représentation visuelle ?
    • En co-(re)structurant un concept, on bénéficie, dès le départs, des perceptions d’autres personnes. On débute donc avec une compréhension commune plus grande. De plus, si la structure est compréhensible pour les 2, 3 ou 4 «co-structurateurs», la carte conceptuelle risque d’être plus claire pour plus de gens.
  5. Créer des cartes conceptuelles devient très « à la mode » en éducation. À ce jour, que diriez-vous aux parents par rapport à leur valeur pédagogique ?
    • Créer une carte conceptuelle permet à l’enseignant de :
      1. bien préparer ses cours en organisant tous les éléments importants.
      2. réviser systématiquement les informations que les élèves apprendront.
      3. voir comment un élève perçoit une série de concepts.
    • Créer une carte conceptuelle permet à l’élève de :
      1. organiser et rendre accessible à plus long terme, un réseau de concept.
      2. étudier de façon active.
      3. integrer de nouvelles informations en les reliant à des concepts déja présents.
  6. Intégrerez-vous les cartes conceptuelles dans vos cours ? Donnez trois raisons « pour » et trois raisons « contre » une telle intégration.
    • Pour:
      1. Permet aux élève de mieux intégrer les nouvelles information à l’aide de ce qu’ils savent.
      2. Permet un meilleur suivi individuelle des élèves.
      3. Facilite la récupération ultérieur des concepts présents sur les cartes.
    • Contre:
      1. On ne peut demander aux élève de faire des schémas de concepts pour tout, cela est trop long.
      2. Il faut commencer par montrer aux élèves comment faire des schémas de concept.
      3. Requiert que l’enseignant fasse une rétroaction sur les cartes conceptuelles, cela peut être fastidieux si l’outils est trop utilisé.

PAR
Sylvain Robitaille





Un pool de hockey pour apprendre les statistiques?

26 04 2009

Alors voici, je n’irai pas en détail car mon but est de parler d’une application web 2.0. Je tient à souligner l’idée car c’est à l’aide de cette application que je mènerais ce projets de pool de hockey dans la classe. L’idée est loin d’être parfaite, mais je la trouve drôle et pas si folle. J’utiliserais un blog, mais pourquoi? Alors voici une liste des caractéristiques d’un blog.

  1. Contrôle
    En tant qu’administrateur, l’enseignant dispose d’un niveau de contrôle total sur le contenue pour éviter les dérapages. Également, l’enseignant dispose de contrôle sur le format et le look du blog pour permettre un meilleur organisation des informations.
  2. Liberté
    Les étudiants disposent d’une bonne liberté, chacun pouvant créer des liens vers d’autres pages Internet simplement en publiant un commentaire.
  3. Outils
    Il faut bien choisir l’hôte du blog, mais un bon choix nous donnera accès à des widgets pouvant être très utiles.
  4. Déjà sur internet
    L’internet regorge de ressources, comme le travail se fait sur un blog, l’enseignant, comme les élèves, peut mettre à la disposition des élèves, une panoplie d’outils virtuels.
  5. Informatisé
    Donc pas d’utilisation de papier!
    De plus, on peu télécharger des images ou des documents pertinents à l’attention des élèves sur le blog. Les élèves peuvent faire de même. Les évènement peuvent être facilement archivé à des fin d’évaluation.
  6. Adaptabilités
    On peut faire un blog. On peu faire faire un blog. Un blog n’a pas de sujet en soit et peu servir à une multitude de choses.
  7. Plastique
    Un blog est modifiable après coup. On peu donc permettre aux étudiants de s’autocorriger
  8. Réutilisable
    On peut reprendre, comme exemple, le travail qui a déjà été fait par les classes ultérieures.

Bien sur, comme pour tout, il faut d’abord apprendre à utiliser le blog, cela requiert un apprentissage suplémentaire, maisl’école sert à apprendre!

PAR Sylvain Robitaille




Éducation aux médias, les sports et les statistiques.

26 04 2009

wordle1Mais quel est le lien entre tout ça!!?? Il est assez simple, mais avant de le dévoiler, parlons un peu de l’éducation aux médias.

D’où ça vient?
L’éducation aux médias est quelque chose de nouveau qui a été pensé à la suite de la hausse de popularité de sites Internet comme Youtube. De tels sites permettent maintenant à tout le monde de diffuser des vidéos, et ce, avec pratiquement aucun contrôle sur la validité du contenue. La prise de conscience du pouvoir de la télévision sur notre société a aussi joué un rôle dans l’évolution de l’éducation aux médias.

Ai-je dit nouveau?
L’éducation au média serait plus l’évolution de quelque chose qui existait déjà. Il a toujours été important de pouvoir connaître, ou estimer, la fiabilité d’une source écrite. Donc, des critères étaient déjà établis pour évaluer la crédibilité d’un texte. Par contre, en utilisant la vidéo et l’informatique, une personne dispose d’infiniment plus d’outils pour diffuser de l’information fausse ou des messages cachés. Il est donc devenu impératif d’élargir les critères qui nous permettaient de valider des textes. Comme les médias sont de plus en plus complexes et que les gens disposent de plus en plus d’outils, il est normales que ces critères soient plus nombreux, certains parlent même de 500 questions!

Pourquoi les sports et les statistiques? Pour démontré une aberration du monde des sports qui me fait beaucoup rire, je vais utiliser l’exemple suivant. Si je vous dit: « le plus grand gardiens de but de tous les temps est celui qui s’est fait marquer le moins de buts durant sa carrière. » Penser vous que cela aie beaucoup de sens? Non, il nous suffit de trouver un gardien de but ayant eu une carrière extrêmement courte, disons un match! Il s’est peut-être fait compter dix buts, mais il serait tout de même, selon mon énoncé, le meilleur gardien! Évidemment, mon exemple est un peu extrême, mais les commentateur sportifs font souvent de tels énoncés. On a qu’a penser à Babe Ruth, le fameux joueur de baseball ayant frappé 714 coups de circuit! Il a été détrôné par deux autre joueurs récemment, qui on été élever au rang de superstar du baseball, mais personne ne mentionne qu’ils on pris beaucoup plus de match pour arriver au même résultat.

Pourquoi?
En se questionnant sur le sujet, on en vient vite à la conclusion que les sports on besoin d’être lucratifs. Il est donc important d’avoir des héros sportifs. Autrement, les stades serait vide et les émissions de sport auraient des cotes d’écoutes désastreuses. Ici, je ne dis pas que les statistiques sportives sont utilisées pour berner les gens, mais l’industrie sportive utilise les statistiques pour ses propres intérêts, non pour celles des fans.

Ce petit texte fait ressortir une facette importante de l’éducation aux médias. Sans connaissance sur un sujet, il est très difficiles de rester critique face à quelqu’un qui essai de nous berner. L’éducation aux média est donc plus uns méthode de trvaille et on n’a jamais fini de l’approfondir.

PAR
Sylvain Robitaille




Un blogue sur WordPress pour les élèves du secondaire

21 04 2009

En ce qui me concerne, il est évident que les élèves du secondaire maîtrisent mieux que moi les technologies. Pourtant, j’ai réussis à créer ce blog, à l’aide de mes coéquipiers, pour satisfaire les exigences d’un de mes cours. WordPress est un système de gestion de contenu (CMS) qui permet de créer et gérer facilement l’ensemble d’un site web ou simplement un blog parmi bien d’autres. Gratuit et libre, WordPress peut être utilisé partout à travers le monde entier.

 

Pour les enseignants ou futurs enseignants, comme moi, qui ne veulent pas se compliquer la vie, son utilisation est très facile. Certains diront que ce logiciel est destiné à des utilisateurs chevronnés. Il est vrai qu’il offre une multitude de fonctionnalités. Toutefois, leur utilisation est facultative pour la plupart. Un élément important pour la pédagogie est la gestion des utilisateurs pour chacun des blogues. «Une fois inscrit sur un site WordPress, on peut posséder divers niveaux d’administration du simple contributeur qui pourra seulement publier des commentaires à l’administrateur qui saura gérer l’intégralité des options disponibles. » Ainsi, l’enseignant peut rester l’unique administrateur et ajouter tous ses élèves comme contributeurs. Il pourra donc utiliser le blog qu’il aura créé pour sa classe pour leur transmettre des devoirs, des liens intéressant dans un domaine particulier, des articles pertinents et bien d’autres options. Un suivi de l’évolution académique de chacun des élèves en fonction de leurs contributions peut être fait par la consultation des statistiques du blog.

 

Le principal désavantage de WordPress est qu’il est actuellement en processus de francisation. On retrouve plusieurs termes de l’interface du blogue qui sont écrits en anglais.

 

Comment joindre l’utile à l’agréable? Comme la majorité des élèves aiment l’informatique ou simplement l’Internet, WordPress permet de faciliter l’apprentissage collectif. Pourquoi ne pas demander aux élèves de bâtir ensemble des résumés de la matière vue en classe. Ça facilite la révision et la maîtrise de la matière. Il n’est pas facile de bien expliquer certaines notions sans les avoir parfaitement assimilées. Imaginez pour un élève du secondaire. Ils auront donc à travailler fort pour maîtriser la matière pour la transmettre au blogue. Il est sûrement possible de donner une pondération à l’utilisation du blogue tout comme on le ferait pour un mini-test. Leurs efforts doivent être récompensés.

 

Je prévois très certainement intégrer cet outil dans mes futurs cours; et vous?

 

Voici des liens vous expliquant précicément ce qu’est Word Press:

1. Une définition: 

http://wikini.ten.laval.tuxcafe.org/wakka.php?wiki=ProjetPartageWordPress

2. Un apprentissage par expérience :

http://www.francoisguite.com/2008/10/le-paradigme-de-lenseignement-applique-aux-blogues/

3. Pourquoi et comment:

http://www.educnet.education.fr/dossier/portfolio/methode1.htm





SCOOP! Apprendre avec l’actualité

21 04 2009

scoop

SCOOP! est un site qui offre aux enseignants des fiches d’activités en lien avec l’actualité. Comme nous le savons tous, le MELS demande maintenant aux enseignants de pratiquer l’évaluation par compétences. SCOOP! cible ces 9 compétences transversales du programme de formation de l’école québécoise. Voyons comment ces fiches sont si merveilleusement faites.

Dès le premier coup d’œil, nous pouvons savoir à quel domaine et à quel niveau la fiche se situe par son entête. Nous pouvons lire un résumé de l’activité et les objectifs qui lui sont associés. Les liens entre chacun des domaines contenus et les compétences transversales visées sont explicités. Par la suite, les compétences transversales impliquées sont nommées selon les différents ordres, soit intellectuel, méthodologique, personnel et social, de la communication. Ensuite, le matériel nécessaire, une mise en contexte et les suggestions d’activités sont précisés. N’oublions pas les fiches liées à l’activité qui sont mises en lien et les possibilités d’en savoir plus sur le sujet traité.

SCOOP! permet aussi d’exploiter les TIC en classe, dont le logiciel Inspiration. Nous avons souvent de la difficulté à trouver de bonne façon d’intégrer les TIC. En mathématiques, nous avons la calculatrice graphique et quelques logiciels, mais la diversité est toujours bienvenue. Ce site nous offre une quantité énorme de possibilités. Il serait bête de ne pas en profiter.

Par contre, pour avoir accès à toutes ces fiches d’activités que nous propose SCOOP!, nous devons nous abonner. Un abonnement individuel coute 75$ pour un an et 500$ pour une école. Toutefois, l’accès à la version française de SCOOP! est gratuit pour les commissions scolaires québécoises, sur le portail Édu-groupe, jusqu’en juin 2009. Profitez-en!

Évidemment que ce site est intéressant pour les enseignants, mais qu’en est-il pour les élèves. Toutes les activités proposées par SCOOP! favorisent l’apprentissage en collaboration et fournissent un support visuel. Elles permettent de solidifier leur connaissance de l’actualité. Surtout, SCOOP! permet de les éduquer par l’entremise de des domaines connexes. L’intérêt des élèves pour la matière enseignée n’est pas toujours à son maximum. SCOOP! est un bon moyen de les captiver par sa diversité.

Il faut tout de même faire attention avec ces activités. Les buts visés par ces dernières peuvent ne pas être appropriés dans vous cours. Il faut bien faire son choix. Vous devez aussi transmettre votre intérêt puisque vos élèves ne verront pas son utilité dès le départ.

Il y a aussi la possibilité de combiné des domaines avec des sujets précis; voici une activité sur la centenaire de Canadiens de Montréal.

http://scoop.demarque.com/prive/afficheScenario.php?idScenario=2348